lundi 26 mai 2008

TORAH SPOT BAMIDBAR (1)


ב"ה


Dimanche 25 mai 2008 - 20 Iyar 5768


Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam


'Houmach
Dans le désert ("bamidbar") du Sinaï, D.ieu demande que soit conduit un recensement des douze tribus d'Israël.

Tehilim

Lire les Tehilim 107, (קז) et 97 à 103 (צז-קג)


Tanya

Likouteï Amarim: chapitre 49Après avoir expliqué dans les chapitres précédents que, par amour pour son peuple, D.ieu contracta Sa "lumière" afin de permettre l'existence des monde, l'Admour Hazaken explique dans ce chapitre la notion de « contractions » subies par la lumière divine. Il conclura que, de la même façon que par amour pour Son peuple, D.ieu ôta tous les obstacles à la création des mondes, ainsi, un Juif doit par amour pour D.ieu ôter tout obstacle qui le gênerait dans son service divin. Et, de la même façon que D.ieu nous illumine d'une vitalité qui est une lumière élevée, ainsi un Juif ne peut se contenter d'un service de D.ieu limité mais, doit aller au-delà de toute limite pour son Créateur.


Rambam

Mitsva négative N° 279 :C'est l'interdiction qui a été faite au juge de s'apitoyer sur celui qui a tué son prochain, ou qui l'a privé de l'un de ses membres, au moment de fixer sa peine. Qu'il ne dise pas: Il s'agit d'un pauvre homme, car c'est de manière non intentionnelle qu'il a amputé son prochain d'une main ou l'a rendu aveugle d'un œil, et qu'il ne s'apitoie pas sur lui à cause de cela en se montrant trop indulgent lorsqu'il fixe le montant du dédommagement.
Mitsva négative N° 277 :C'est l'interdiction qui a été faite au juge de se laisser influencer par un sentiment de pitié à l'égard du pauvre au cours du procès au point de rendre un jugement en sa faveur sous l'empire de la compassion [et non de l'équité].
Mitsva négative N° 275 :C'est l'interdiction qui a été faite au Juge d'honorer une des parties plus que l'autre pendant le déroulement du procès. Même si ce justiciable est une personne extrêmement honorée et de haut rang, le juge n'a pas le droit de lui témoigner d'égards particuliers, ni de faire preuve à son endroit de déférence et de respect lorsqu'il se présente devant lui face à un autre justiciable.
Mitsva négative N° 278 :Il est interdit au juge d'infléchir son jugement en défaveur d'une des parties, parce qu'il sait qu'il s'agit d'un méchant et d'un pécheur.
Mitsva négative N° 273 :C'est l'interdiction faite au Juge de commettre une iniquité dans l'exercice de la justice.

Hayom Yom
On ne peut se prévaloir de qui que ce soit. Il faut faire beaucoup d'efforts. Alors, avec patience et amabilité, on parvient à connaître le succès en tout, avec l'aide de D.ieu. En dénigrant son prochain et en marquant son orgueil on peut, que D.ieu nous en préserve, tout perdre.

Un jour - une hala'ha
Lois de la Mezouza (8): la fixation de la Mezouza et sa bénédiction

- Le parchemin de la Mezouza se roule de la gauche vers la droite, c'est-à-dire de la fin des lignes vers le début (du mot "E'had" vers le mot "Chema" du verset "Chema Israël")
- On a coutume de recouvrir le parchemin avec un film plastique ou cellophane, afin de le protéger de l'humidité. Puis, on le place dans l'étui, à l'endroit.
- Il y a lieu de fixer la Mezouza avec des clous ou quelque chose de semblable afin qu'elle soit correctement fixée à la porte. Si elle n'a été fixée que par un seul clou, en haut, de telle sorte qu'elle pende, la Mitsva n'est pas accomplie tant qu'elle n'est pas également fixée en bas.

Délivrance & Machia'h
Une seule action, d'un seul Juif, a la force d'amener la Délivrance véritable et complète, tel que l'exprime Maïmonide : « tout homme doit se considérer comme ayant une moitié de mérites et une moitié de fautes, et considérer l'ensemble de l'humanité comme ayant également une moitié de mérites et une moitié de fautes: en faisant une seule bonne action, il fera alors pencher son "compte" personnel et l'ensemble de l'humanité du côté des mérites, amenant pour lui-même et pour le monde entier le Salut et la Délivrance ». Il y a lieu d'ajouter, que le seul fait d'éveiller en soi l'espoir et le désir de la venue du Machia'h, en criant et en le demandant concrètement constitue une de ces actions capables d'amener la Délivrance. Et, puisqu'il en est ainsi, nous avons le devoir de « crier » de toutes les forces de notre âme et d'une voix forte « jusqu'à quand (cet exil)?!» (Extrait d'un discours du Rabbi de Loubavitch)


Réalisé pour l'élévation de l'âme de Nicole Mazal Tob bat Eliahou ZELTZER ע"ה ז"ל
A la mémoire de Rabbi Moshe ben Rabbi Dov Ber LEVERTOV ע"ה ז"ל
Source : www.kehilat-chneor.com

Aucun commentaire: