ב"ה
Lundi 25 juin 2007 - 9 Tamouz 5767
Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam
'Houmach
Face au refus de Bilam de venir maudire le peuple juif, Balak décide d'envoyer un nouvelle délégation, plus importante que la première, afin d'obtenir de Bilam, qu'il vienne. D.ieu, cette fois-ci, laisse Bilam partir, mais en le prévenant, qu'il ne devra dire que ce que D.ieu lui aura dit.
Tehilim
Lire les Tehilim 106, (קו) et 49 à 54 (מט-נד)
Tanya
Igueret Hatechouva: Chapitre 2
L'Admour Hazaken explique dans ce chapitre que, malgré le fait que la "Techouva", en elle-même, ne nécessite pas de jeûner, le jeûne présente tout de même une qualité.
En effet, lorsque le Beth Hamikdach existait, il était nécessaire après avoir commis une faute d'offrir un sacrifice, afin d'être agréable à nouveau envers Dieu (comme avant d'avoir commis la faute). De la même façon, en notre époque où les sacrifices n'existent plus, le jeûne vient en remplacement du sacrifice, permettant de "renforcer" le lien avec D.ieu, affaibli par la faute. Sur ce principe, le Ari Zal (Rabbi Its'hak Louria) détermina d'après la Kabale, le nombre de jeûnes nécessaires, selon la faute commise.
Rambam
Mitsva positive N° 179 :Il s'agit du commandement nous enjoignant d'examiner à fond le témoignage des témoins et de les interroger minutieusement. C'est alors seulement que le châtiment sera prononcé et que la décision sera communiquée. Il faut être le plus scrupuleux possible à ce sujet, afin de ne pas se précipiter et de ne pas donner une décision hâtive, ce qui porterait préjudice aux innocents.
Pensée Juive
La plus grande certitude de recevoir l'assistance divine est acquise à tous les parents juifs qui ont besoin d'une aide et d'une délivrance particulières pour leurs enfants dès lors qu'ils soutiennent ceux qui étudient la Torah.
Un jour - une hala'ha
Lois des Téfilines (6)
- Lorsque l'on met les Téfilines, il faut faire attention à ce qu'il n'y ait pas de séparation (comme par exemple de la poussière, des saletés, etc.) entre les Téfilines et la peau. Il ne devra pas y avoir non plus de séparation entre le premier tour de la lanière de cuir (au niveau du biceps) et la peau du bras. Si, du fait d'une blessure, le biceps (qui est l'endroit sur lequel on doit poser les Téfilines) est recouvert d'un bandage, d'un plâtre ou d'autres choses de ce genre, on pourra poser les Téfilines sans dire la bénédiction. Cependant, dans ce cas on recouvrira les Téfilines du bras de façon à ce qu'on ne les voit pas.
- De même, pour les Téfilines de la tête et pour la lanière de cuir qui entoure la tête, on fera attention à ce que rien ne vienne constituer une séparation avec le crâne. Les cheveux courts ne sont pas une séparation contrairement aux cheveux qui sont trop longs.
Délivrance & Machia'h
Maïmonide, dans le Michné Torah (Hil'hot Mela'him, chap. 11), souligne la nécessité d'une double démarche en ce qui concerne notre rapport avec la venue de Machia'h : «Y croire... Attendre sa venue». Il ne s'agit pas là d'une simple répétition qui aurait pour but, par exemple, d'insister sur l'importance de l'idée. En fait, la foi peut être réelle mais rester à un niveau superficiel, presque théorique, comme celle du voleur que les Sages décrivent dans le Talmud (traité Bra'hot 63a) : «A la sortie du souterrain (creusé pour réaliser son entreprise criminelle), il invoque D.ieu (pour qu'Il l'aide à réussir) !». Ce voleur est sincère dans sa prière mais sa foi est si extérieure à la réalité de ses actes qu'il ne voit même plus la contradiction entre elle et ces derniers. Au contraire, la foi dans la venue de Machia'h doit pénétrer l'essence de chacun de telle façon que tous l'attendent très concrètement.
Réalisé pour l'élévation de l'âme de Nicole Mazal Tob bat Eliahou ZELTZER ע"ה ז"ל
Source : www.kehilat-chneor.com
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