vendredi 19 juin 2009

TORAH SPOT CHELA'H EREV CHABBATH


ב"ה
Vendredi 19 juin 2009 -27 Sivan 5769
Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam
Horaires de Chabbat
Paris: Entrée: 21h39 - Sortie: 23h04

'Houmach
Le commandement de consacrer à D.ieu une portion de la pâte, lorsque l'on confectionne la 'hallah, le pain, est donné.Un homme viole le Chabbat en ramassant du bois : il est mis à mort. D.ieu ordonne de placer des franges (Tsitsit) aux quatre coins de nos vêtements pour qu'elles nous soient un rappel d'accomplir Ses commandements.

Tehilim
Lire les Tehilim 108 (קח) et 120 à 134 (קכ-קלד)

Tanya
Chaar Hayi'houd Vehaemouna: chapitre 8
De la même façon que D.ieu est parfaitement unie et ne forme qu'un avec Sa connaissance, ainsi est-Il parfaitement uni et ne forme-t-Il qu'un avec l'ensemble de Ses forces et de Ses noms. Cette unité de D.ieu est au-delà de toute compréhension. En effet, la compréhension de l'homme étant limitée et, Dieu étant illimité, l'homme ne peut avoir de perception véritable de la Divinité. La force la plus élevée de l'âme humaine et la force de la compréhension ('Ho'hma) de laquelle découlent les deux autres forces intellectuelles: Bina (force qui qui désigne la capacité de développer la compréhension extrêmement condensée, représentée par la force de 'Ho'hma) et Daat (force par laquelle l'homme peut ressentir un concept intellectuel). Viennent ensuite les sentiments, qui découlent des forces de l'intellect ; en effet, la capacité pour l'homme d'éprouver des sentiments se fait selon l'attribu de Daat, et la capacité qu'il a à s'attacher à un concept. Puis, les sentiments éveilleront la force de la pensée, et la pensée éveillera la force de la parole et celle de l'action. Il n'existe aucune commune mesure entre une force et la force qui lui donne naissance. À plus forte raison, ne peut-on faire aucun lien entre la force de l'action et celle de la compréhension, qui est la plus élevée de toutes.

Rambam
Mitsva positive N° 14 :Il s'agit du commandement qui nous a été ordonné de faire des Tsitsit (franges) [à nos vêtements].

Hayom Yom
Il est écrit: «Et l'Eternel te bénira en tout ce que tu feras». Un homme doit uniquement constituer un réceptacle, par lequel D.ieu lui enverra sa subsistance. Il doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour le purifier de toute trace d'impureté et de manque de loyauté.Ce réceptacle sera donc basé sur les Lois de la Torah. Il méritera ainsi la double bénédiction divine: il connaîtra la prospérité matérielle et sa richesse sera judicieusement utilisée.(Ainsi, la bénédiction n'aura pas pour but de payer des frais médicaux, comme le Rabbi l'explique par ailleurs.)

Un jour - une hala'ha
Les 39 travaux interdits le Chabbat: vanner (6)
Une nappe sur laquelle se trouve des miettes ou d'autres éléments dont on cherche à se débarasser ne pourra pas être époustée à l'extérieur du fait de l'interdiction de "vanner".

Délivrance & Machia'h
Isaïe (11 :15) prophétise que, lors de la venue de Machia'h, D.ieu "avec Son puissant vent, agitera Sa main sur le fleuve et le frappera en sept ruisseaux". Il est clair que cet épisode, qui rappelle l'ouverture de la mer rouge lors de la sortie d'Egypte, répond à une nécessité particulière, faute de quoi le prophète ne l'aura pas ainsi souligné.
En fait l'ouverture de la mer rouge correspondait spirituellement à la révélation surnaturelle de degrés de la Divinité habituellement masqués, qui intervint à ce moment. En ce sens, cet événement fut une préparation au Don de la Torah sur le mont Sinaï. De même, la division du fleuve préparera à la révélation des dimensions mystiques les plus profondes de la Torah qui interviendra aux temps messianiques.

La Question à un Rav (שאלות ותשובות)
Question:
Peut-on faire Arvit de Motsaé Chabbat immédiatement à la sortie des étoiles?
Réponse:
D'après la Hala'ha, en cas de nécessité, il est permis de prier Arvit avant même la fin de Chabbat. Cependant, concrètement, il est de coutume de retarder la prière après la sortie des étoiles afin "d'ajouter du 'Hol au Kodech".
Le récit de la semaine: Le remboursement
Récemment, un père et son fils sont venus chez nous à la maison. Le père me demanda : «Vous souvenez-vous que vous m'aviez demandé la facture ? Et bien voici le remboursement !»
Revenons en arrière : quand le Rabbi fut victime d'une attaque cérébrale en 1992, les médecins qui surveillaient son état de santé dans son bureau situé au 770 Eastern Parkway avaient régulièrement besoin de surveiller ses analyses de sang. La plupart des laboratoires exigeaient deux ou trois jours de délai pour fournir les résultats. Or, les médecins désiraient obtenir les résultats le plus rapidement possible !
Nous avons alors trouvé à Brooklyn un laboratoire tenu par deux frères qui promirent de nous fournir les résultats pour le Rabbi en 4 ou 5 heures maximum.Un mois après que nous ayons fait régulièrement appel aux services de ce laboratoire, je téléphonai aux propriétaires en leur demandant la facture de toutes les analyses déjà effectuées (en effet, le Rabbi n'acceptait jamais rien de gratuit). Je ne reçus aucune facture.
Des années plus tard, une semaine après «Guimel Tamouz» (le jour où le Rabbi se voila de ce monde), un des propriétaires m'appela à mon bureau et déclara : «Vous nous aviez demandé une facture pour les analyses que nous avions effectuées pour le Rabbi. Je suis marié depuis neuf ans et nous n'avons pas d'enfant. Je voudrais que le paiement de la facture consiste en une bénédiction du Rabbi afin que nous mettions au monde un enfant !»
Il y a longtemps que plus rien de ce genre ne m'étonne...Je lui demandais donc son prénom hébraïque et celui de sa mère, ainsi que ceux de son épouse. Ce jour-là, je me rendis au Ohel, . Debout près du Ohel, je répétais toute l'histoire avec les noms de ce couple qui demandait un enfant comme «paiement de la facture». Dix-huit mois plus tard, le propriétaire du laboratoire me téléphona et m'annonça que sa femme venait de mettre au monde un garçon. Et donc récemment ce garçon âgé de douze ans est venu me rendre visite avec son père qui déclara : «Vous souvenez-vous que vous aviez demandé la facture ? Voici le paiement !»
Rav Leibl Groner, secrétaire du Rabbi
L'Chaim n°1056

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