jeudi 21 mai 2009

TORAH SPOT BAMIDBAR

ב"ה

jeudi 21 mai 2009 -27 Iyar 5769
42ème jour du Omer
Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam

'Houmach
La tribu de Lévi comptée séparément est composée de 22 300 individus mâles âgés d'au moins un mois. Les Lévites devront assurer le service dans le Sanctuaire, remplaçant les premiers-nés d'Israël (dont le nombre est, à peu près, équivalent) disqualifiés par la faute du veau d'or.Lorsque le peuple lève le camp, les trois familles de lévites démontent et transportent le Sanctuaire pour le réassembler à la nouvelle halte. Ils dressent alors leurs propres tentes autour de lui. Les Kéhatites qui transportent l'Arche et les instruments du Sanctuaire protégés par leurs couvertures spéciales s'installent au sud. Les Guérsonites occupent l'ouest et les familles de Merrari le nord. A l'entrée du Sanctuaire, à l'est, sont installées la tente de Moché et celles d'Aharon et de ses fils.

Tehilim
Lire les Tehilim 108 (קח) et 120 à 134 (קכ-קלד)

Tanya
Likouteï Amarim: chapitre 52
L'Admour Hazaken développe dans ce chapitre ce qu'il a commencé à expliquer dans le chapitre précédent : afin de nous faire comprendre que la Présence Divine, bien que présente partout, puisse être dévoilée d'une façon plus intense en certains lieux, l'Admour Hazaken établi un parallèle entre le monde (le macrocosme) et le corps (le microcosme).
Ce parallèle est souligné par le verset : «De ma chair, je contemplerai le divin». L'âme d'un homme se trouve dans l'ensemble de son corps et dans l'ensemble de ses membres et, malgré cela, le lieu essentiel de résidence de l'âme est le cerveau, car c'est là que le dévoilement de l'âme y est le plus important. De la même façon, bien que Dieu remplisse l'ensemble des mondes, le dévoilement divin qui se trouve dans les mondes supérieurs est plus important que celui présent dans les mondes inférieurs.

Rambam
INTRODUCTION du RAMBAM
Après avoir achevé la rédaction de l'ouvrage réputé comprenant l'explication de toute la Michna, - notre but, dans ledit ouvrage a été de nous contenter de l'explication de chaque Halakha séparément, car notre intention n'était pas d'y inclure de manière exhaustive les discussions relatives à chaque prescription ni d'examiner de manière approfondie ce qu'il est nécessaire de savoir à propos de ce qui est interdit et de ce qui est permis, et à propos de ce qui est obligatoire et de ce qui est facultatif, ainsi que celui qui consultera cet ouvrage pourra le constater -, j'ai jugé raisonnable de constituer un recueil comprenant toutes les lois de la Torah et ses règles, n'en omettant aucune. Dans la présente étude, je m'efforcerai, selon mon habitude, d'éviter de mentionner des différends et des interprétations rejetées (par la Tradition).
Je n'y ferai paraître que la stricte loi, de sorte que ce recueil comprendra toutes les lois de la Torah transmises par notre Maître Moïse, celles étant applicables dans la Diaspora et celles qui ne le sont pas encore. Il me semble juste d'en exclure les références et les preuves apportées par les garants de la Tradition; ainsi, je ne dirai pas, à propos d'une loi ou d'une autre: "selon les paroles de Rabbi Untel ou Untel", mais je citerai, au début de cet ouvrage, tous les Maîtres de la Michna et du Talmud.
Je dirai que toutes les lois de la Torah, c'est-à-dire de la Loi Orale, ont été reçues de l'un et l'autre depuis Ezra, depuis Moïse. En même temps que je citerai le chef de chaque génération ayant reçu et transcris la Torah, je mentionnerai aussi les personnes les plus célèbres de chaque génération qui s'associèrent à elles pour transmettre la Loi Orale. Je ferai ainsi afin d'être plus concis (...)

Hayom Yom
Mon père (le Rabbi Rachab) rapporta ce qu'il entendit de son père, du nom du Tséma'h Tsédek, qui lui-même le tenait de l'Admour Hazaken: ce dernier se considérait comme le fils du Maguid (son maître) et le petit-fils du Baal Chem Tov.

Un jour - une hala'ha
Les 39 travaux interdits le Chabbat: battre le blé (7)

Il sera permis de couper un fruit en deux, comme par exemple un pamplemousse, et de le manger à la cuillère à condition de prendre garde à ne pas le presser et de ne pas avoir l'intention d'en extraire le jus au moment où on le mange.
En effet, puisque dans un tel cas le but n'est pas de presser le pamplemousse et que la façon de le presser n'est pas direct, il sera permis d'agir de la sorte.

Délivrance & Machia'h
Il nous est enseigné qu'au temps de Machia'h «une nouvelle Torah sortira de Moi». Il est pourtant clair que la Torah, Sagesse de D.ieu, ne changera jamais. Du reste, les textes soulignent : «Cette Torah-là ne sera jamais changée». Dès lors, que signifie cette «nouvelle Torah» ?Aujourd'hui, la Torah nous apparaît sous la forme de récits comme ceux de Lavan ou de Bilam. Lorsque le Machia'h viendra, les secrets cachés dans ces récits se dévoileront. Il se révèlera alors comment ce qui semble être de simples histoires parle profondément de D.ieu. C'est ce que signifie les mots «sortira de Moi» : il apparaîtra comment toute la Torah est une manière de dire la Divinité.

La Question à un Rav (שאלות ותשובות)
Question:
Est-il permis de faire de la monnaie avec de l'argent qui se trouve dans une boite de Tsedaka?Réponse:
Il est permis de faire de la monnaie avec l'argent qui se trouve dans une Tsedaka, du fait que, d'une manière générale, les institutions ne s'opposent pas à un tel procédé. On ne pourra pas faire de la monnaie à partir d'une Tsedaka sur laquelle figure l'interdiction d'en faire.

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