dimanche 12 août 2007

TORAH SPOT CHOFTIM (1)

ב"ה

Dimanche 12 aout 2007 - 28 Mena'hem Av 5767

Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam

'Houmach

Ordre est donné de nommer des juges et des fonctionnaires chargés d'appliquer les décisions de justice afin d'établir l'ordre et l'équité au sein du peuple. D.ieu demande de respecter et d'écouter les recommandations des Sages de la génération.

Tehilim
Lire les Tehilim 106, (קו) et 135 à 139

Tanya
Igueret Hakodech: Chapitre 8
Nos Sages nous enseignent que Rabbi Eleazar donnait une pièce à la Tsedaka, puis seulement ensuite commençait à prier. En effet, durant la prière, D.ieu se dévoile à chacun selon son niveau. Ce dévoilement est un acte de bonté ('Hessed) de la part de D.ieu. C'est pourquoi pour pouvoir mériter cette bonté, nous devons nous aussi réaliser un acte de bonté qui sera l'élément déclenchant du dévoilement de D.ieu pendant la prière: cet acte de bonté est le fait de donner la Tsédaka.
La Tsedaka a cependant le pouvoir d'attirer une bonté, de la part de D.ieu, bien plus grande que ce qu'elle constitue en elle-même (c'est-à-dire que l'acte de bonté de D.ieu - son dévoilement à celui qui prie - est bien plus grand que l'acte de bonté de donner la Tsedaka). Ceci est à comparer à une graine que l'on plante et qui est capable de donner des fruits et des arbres entiers. Le résultat est donc sans aucune commune mesure avec l''élément déclenchant (la graine, dans notre exemple). Il en est de même dans notre exemple, où la Tsedaka que l'on donne est capable de provoquer une bonté de D.ieu sans aucune commune mesure avec l'acte réalisé.
La Tsedaka que l'on donne est capable de provoquer une bonté de D.ieu sans aucune commune mesure avec l'acte réalisé. En donnant la Tsedaka, on éveille dans le ciel l'attribut de bonté de D.ieu, illuminant ainsi l'âme qui se trouve "emprisonnée" dans notre corps. Cette lumière est appelée le salut qui provient de nos actes de bonté (Tsedaka), ainsi qu'il est dit: "Celui qui sème la Tsedaka, récolte le salut".

Rambam
Mitsva positive N° 19 :
Il s'agit de l'ordre qui nous a été enjoint de rendre grâce à D.ieu après chaque repas.

Hayom Yom
Il est, en général, deux approches de la guérison, pour ce qui concerne les maladies physiques:
. On peut traiter le membre du corps ou la faculté qui est malade, faible et déficient.
. On peut renforcer les membres du corps et les facultés qui sont saines afin qu'ils l'emportent sur celui qui est malade et parviennent à le guérir.
Le pendant de ces deux approches, pour les maladies de l'âme, correspondent aux deux formes suivantes du service de D.ieu:
. La Techouva
. Les bonnes actions.

Un jour - une hala'ha
Lois du Kidouch- Motsi et de la Havdala (7)
- Un homme peut dire le Kidouch pour acquitter d'autre personnes (y compris s'il est déjà quitte de cette Mitsva).
- Dans ce cas, celui qui se fait acquitter doit penser à se rendre quitte en écoutant le Kidouch et celui qui dit le Kidouch doit penser à l'acquitter.
-Celui qui écoute le Kidouch en ayant l'intention de s'acquitter ne doit pas répondre "Barou'h Hou Ouvarou'h Chemo" après avoir entendu la bénédiction.

Délivrance & Machia'h
Evoquant le temps de Machia'h, les Psaumes annoncent : «Alors, notre bouche sera pleine de rire». Il faut souligner que ce rire-là a un sens et une motivation profondes. En effet, la valeur numérique du mot «rire» en hébreu est de 414. C'est aussi celle des mots «Or Ein Sof» qui signifient « Lumière Infinie » et font référence à l'Essence Divine. Cette équivalence indique que la signification véritable de ce « rire » est la révélation de D.ieu.

Réalisé pour l'élévation de l'âme de Nicole Mazal Tob bat Eliahou ZELTZER ע"ה ז"ל
Source : www.kehilat-chneor.com

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