vendredi 27 juillet 2007

TORAH SPOT VAET'HANANE (6)

ב"ה

Vendredi 27 juillet 2007 - 12 Mena'hem Av 5767


Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam

'Houmach
Moché prédit qu'au cours des générations futures, le peuple s'éloignera de D.ieu, qu'il servira des idoles et sera exilé de sa terre, dispersé parmi les nations. Mais alors, ils chercheront D.ieu et reviendront au respect de Ses commandements.
La paracha Vaet'hanane contient aussi les versets du Chema qui expriment le fondement de la foi juive : l'unité de D.ieu (« Ecoute Israël, l'Eternel est notre D.ieu, l'Eternel est Un ») avant de commander l'amour de D.ieu, l'étude de Sa Torah, le port des Téfilines (les phylactères) et la pose d'une mézouza aux portes de nos habitations.

Tehilim
Lire les Tehilim 106, (קו) et 66 à 68 (סו-סח)


Tanya
Igueret Kodech: Chapitre 4
Le coeur, siège de la flamme divine qui se trouve en chaque Juif, contient deux aspects: un aspect superficiel, à l'origine de l'enthousiasme pour D.ieu suscité par la réflexion sur la grandeur infinie de D.ieu, et un aspect plus profond correspondant au "point essentiel du coeur", bien au-delà de toute réflexion.

Rambam
Mitsva négative N° 11 :
Il nous est interdit de fabriquer une stèle auprès de laquelle on se rassemble pour l'honorer, même si on l'érige dans le but de servir l'Eternel; tout cela afin de ne pas imiter, dans notre service de l'Eternel, les idolâtres dont la coutume était d'ériger des stèles et d'y poser leurs idoles.


Hayom Yom
L'Admour Hazaken rapporta un enseignement du Maguid de Mezeritch, qui le tenait du Baal Chem Tov:
«Tu aimeras ton prochain comme toi-même» est un commentaire et une explication de «Tu aimeras l'Eternel ton D.ieu». Lorsque l'on aime un Juif, on aime D.ieu. Car chaque Juif porte en lui une parcelle de Divinité. Ainsi, lorsque l'on aime un Juif, lorsque l'on aime la partie profonde de son être, on aime l'Eternel.


Un jour - une hala'ha
La Tsniout - la pudeur
À l'approche des vacances et malgré les grosses chaleurs, il convient d'attirer l'attention de chacun sur l'importance des lois de la «Tsniout», la pudeur.
Selon la loi juive, une femme et une jeune fille, dès l'âge de trois ans, doivent s'habiller correctement, c'est-à-dire couvrir les clavicules, les épaules, les bras jusqu'au coude (inclus), les jambes. Elles porteront des jupes ou robes couvrant les genoux même lorsqu'elles sont assises. Une jupe avec une fente - même en dessous du genou - n'est pas Tsniout.
Une femme mariée se couvrira la tête d'une perruque, ce qui est le moyen le plus sûr de ne laisser voir aucun cheveu ; ceci constitue, dit le Zohar, une source de bénédiction pour elle, son mari et ses enfants, dans le domaine matériel aussi bien que spirituel.
Il convient de veiller particulièrement à ces lois lors d'un mariage : en effet la mariée et toutes les femmes invitées auront soin de ne porter que des vêtements qui conviennent à la dignité des filles de nos matriarches, Sara, Rivka, Ra'hel et Léa, et attireront ainsi sur leur foyer toutes les bénédictions.


Délivrance & Machia'h
En notre temps, après toutes les épreuves traversées, ce temps qui est celui de la génération des «talons de Machia'h», selon le mot du Rabbi Précédent, Machia'h «se tient derrière notre mur» et n'attend que l'achèvement de l'œuvre confiée à notre génération. Si on la compare à celle des générations qui nous ont précédés, cette œuvre est relativement facile. Il appartient donc à chacun de réaliser concrètement les termes du verset : «Le faible dira 'je suis fort'». La seule décision ferme dans ce domaine fait apparaître les forces les plus profondes. Chacun peut donc agir bien plus qu'en des temps ou dans des conditions plus ordinaires.

Réalisé pour l'élévation de l'âme de Nicole Mazal Tob bat Eliahou ZELTZER ע"ה ז"ל
Source : www.kehilat-chneor.com

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