jeudi 19 juillet 2007

TORAH SPOT DEVARIM (5)

ב"ה

Jeudi 19 juillet 2007 - 4 Mena'hem Av 5767

Chaque jour, écoutez la conclusion d'un traité talmudique (Siyoum), sur Radio J à 14h30.
Pour que la lumière de notre Torah repousse l'obscurité de l'exil...


Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam


'Houmach
Moché fait également le récit d'événements plus récents : le refus des nations de Moab et Ammon d'autoriser les israélites à traverser leurs territoires; les guerres contre les rois émorites, Si'hon et Og et l'installation des tribus de Réouven et Gad (et d'une partie de la tribu de Manassé) sur leurs terres.


Tehilim
Lire les Tehilim 106, (קו) et 23 à 28 (כג-כח)

Tanya
Igueret Kodech: Chapitre 1
Avec ce chapitre, commence la quatrième partie du Tanya appelée "Igueret Hakodech", la Sainte Epître. Elle est constituée de lettres, que l'Admour Hazaken adressa à ses 'Hassidim, «afin d'enseigner au peuple de D.ieu le chemin à suivre et les actions à mener». Lorsque les fils de l'Admour Hazaken trouvèrent ces lettres, ils pensèrent qu'il serait judicieux de les ajouter et de les incorporer à l'oeuvre magistrale de leur père, le Tanya.
Dans le début de cette première lettre, est rappelée la coutume instituée au sein des 'Hassidim, de conclure en une année dans chaque ville ou dans chaque Minian, l'ensemble du Talmud, en répartissant les différents traités auprès des personnes du groupe. Puis, l'Admour Hazaken explique que l'étude des lois de la Torah orale (Hala'hot) revêt une importance fondamentale. En effet, elle apporte une élévation à l'âme juive, dans son service de D.ieu, à travers une réflexion et une méditation accrues sur la grandeur de D.ieu.

Rambam
Mitsva négative N° 63 :C'est l'interdiction qui nous a été faite de profaner le Nom, ce qui est le contraire de la "sanctification du Nom Divin".
Mitsva négative N° 65 :C'est l'interdiction qui nous a été faite de détériorer les lieux consacrés au service divin, de détruire les livres sacrés, d'effacer le saint Nom ou d'accomplir tout acte similaire.
Mitsva positive N° 172 :Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint d'obéir à chaque prophète, qu'il repose en paix, et de faire tout ce qu'il ordonne, même s'il donne des ordres qui vont à l'encontre d'un ou plusieurs commandements de la Torah, pourvu que ce ne soit que temporaire et que cet ordre ne devienne pas un ajout ou un substrat permanent aux commandements divins.

Hayom Yom
Même au prix du plus grand effort, on ne peut gagner un centime de plus que ce qui a été décrété par D.ieu pour chacun. On doit agir dans la mesure du besoin, mais il faut cependant se rappeler que tout ce travail n'est qu'accessoire. L'essentiel reste la bénédiction divine.Et celle-ci est accordée à celui qui observe les Commandements divins, prie avec la communauté, respecte scrupuleusement le Chabbat, observe méticuleusement la Cacherout et confie l'éducation de ses enfants à des maîtres dignes de confiance.

Un jour - une hala'ha
Lois relatives à la sainteté de la synagogue (2)
- La synagogue est appelée « le petit sanctuaire ». C'est pourquoi il est interdit de s'y conduire d'une façon irrespectueuse, d'y discuter, rigoler ou d'y tenir des discussions profanes...
- Il est interdit de se promener dans une synagogue ou d'y entrer pendant les jours de fortes chaleurs afin de se protéger du soleil ou, inversement, pendant les jours de pluie afin de se mettre à l'abri. Si l'on a besoin d'y pénétrer, pour par exemple aller chercher quelqu'un qui s'y trouve, on entrera dans la synagogue on y dira quelque versets, un psaume... (si l'on en est incapable, on pourra même s'arrêter quelques instants, ce qui est considéré en soi comme une Mitsva, comme il est dit «Heureux ceux qui résident dans ta maison»)

Délivrance & Machia'h
Lorsque Yaacov voulut dévoiler la fin des temps à ses enfants, la Présence divine s'éloigna de lui. La Hassidout explique: notre père Yaacov nous a pourtant révélé la fin des temps. Non pas, bien sûr, qu'il nous ait clairement indiqué quand viendrait le Machia'h. De cela, D.ieu l'en a empêché pour que nous demeurions vraiment Ses "partenaires" dans l'oeuvre qui conduit au monde parfait d'après la rédemption.Mais, le seul fait que Yaacov ait désiré que nous sachions, exerce un effet. Et, d'autant plus que Yaacov est l'un des trois patriarches et, en cette qualité, n'a donc jamais agi que comme le véhicule de la Volonté divine.L'obscurité de l'exil ne concerne que la surface de nos vies (mais c'est à ce niveau que nous préparons le monde à la rédemption). A un plan bien plus profond, notre âme est en éveil. Elle pressent un calendrier qui n'est pas celui d'une succession indifférenciée de jours, une Histoire qui n'est pas celle des historiens. Ce savoir même nous inspire au long du chemin qui mène à l'ultime libération.

Etude spéciale "Trois semaines": Lois sur le Beth Hamikdach
Chapitre 3
15 - Voici l'usage de ces quatorze tiges : on pose le premier pain sur la Table même, puis entre le premier et le deuxième, trois tiges et ainsi de suite entre chaque pain, trois tiges, et entre le cinquième et le sixième deux tiges seulement, car le sixième n'en supportait pas d'autre. Il y a donc 14 tiges pour chaque rangée.
16 - Deux tables étaient disposées à l'intérieur du Oulam, sur le pas de la porte. L'une en marbre sur laquelle on posait les pains avant de les disposer dans le Kodech, l'autre en or sur laquelle on les posait en les sortant, et ce parce qu'il ne peut y avoir que progression dans le domaine de la Sainteté, et non régression.
17 - L'Autel des parfums était carré d'une coudée sur une coudée. Il était disposé dans le Heikhal au milieu de l'axe Nord Sud, plus à l'extérieur que la Table et la Ménorah.Tous trois étaient disposés au-delà du premier tiers du Heikhal, près du rideau séparant le Kodech du Kodech Hakodachim.
18 - Le bassin d'ablutions avait 12 becs, afin que tous les Cohanim affectés au sacrifice quotidien puissent s'y sanctifier par les ablutions simultanément. Un réservoir lui était adjoint, pour qu'il y ait toujours de l'eau, qui avait le statut d'un ustensile profane afin que l'eau qui y restait la nuit ne soit pas rendue impropre. Ceci car le bassin étant un des ustensiles saints, il sanctifiait son contenu, et tout ce qui a été sanctifié en étant contenu dans un ustensile sacré devient impropre s'il y reste durant la nuit.
note:
une coudée vaut environ 50 cm
une palme vaut environ 10 cm


Réalisé pour l'élévation de l'âme de Nicole Mazal Tob bat Eliahou ZELTZER ע"ה ז"ל
Source : www.kehilat-chneor.com

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