mardi 8 mai 2007

TORAH SPOT BEHAR BE'HOUKOTAI

Mardi 8 mai 2007 - 20 Iyar 5767

Pour la Refoua Chléma de Yossef Its'hak ben Myriam

'Houmach
Lors du Jubilé (Yovel), les propriétés ancestrales reviennent à leur propriétaire originaire. La paracha contient aussi des commandements additionnels relatifs à la propriété foncière et des interdits concernant la fraude et le prêt à intérêt.


Tehilim
Lire les Tehilim 106, (קו) et 97 à 103 (צז - קג)

Tanya
Chapitre 49:
Après avoir expliqué dans les chapitres précédents que, par amour pour son peuple, D.ieu contracta Sa "lumière" afin de permettre l'existence des monde, l'Admour Hazaken explique dans ce chapitre la notion de « contractions » subies par la lumière divine. Il conclura que, de la même façon que par amour pour Son peuple, D.ieu ôta tous les obstacles à la création des mondes, ainsi, un Juif doit par amour pour D.ieu ôter tout obstacle qui le gênerait dans son service divin. Et, de la même façon que D.ieu nous illumine d'une vitalité est une lumière élevée, ainsi un Juif ne peut se contenter d'un service de D.ieu limité mais, doit aller au-delà de toute limite pour son Créateur.

Rambam
Mitsva positive N° 245 :C'est le commandement qui nous a été enjoint en ce qui concerne la loi de l'achat et de la vente: c'est-à-dire de quelle manière se pratiquent une acquisition et une vente entre les vendeurs et les acheteurs.

Pensée Juive
On ne peut se prévaloir de qui que ce soit. Il faut faire beaucoup d'efforts. Alors, avec patience et amabilité, on parvient à connaître le succès en tout, avec l'aide de D.ieu. En dénigrant son prochain et en marquant son orgueil on peut, que D.ieu nous en préserve, tout perdre.

Un jour - une hala'ha
Lois de la Mezouza (5)
- Dès que l'on habite une maison, on y fixe la Mezouza, que l'on habite en Israël ou en dehors d'Israël.
- Il faut cependant faire une distinction:
- en Israël: on dit la bénédiction sur la Mezouza dès qu'on la fixe, dès le premier jour où l'on habite la nouvelle maison
- en dehors d'Israël: on fixe la Mezouza sans dire la bénédiction. Ce n'est qu'après avoir résidé 30 jours dans la maison que l'on enlève une Mezouza, qu'on la donne à vérifier (ou bien on la remplace par une Mezouza encore plus belle) et qu'on la refixe en disant la bénédiction, et en pensant à acquitter également toutes les autres Mezouzot qui ont été fixées précédemment.

Délivrance & Machia'h
«Miriam, la prophétesse, sœur d'Aharon, prit en main un tambourin, et toutes les femmes la suivirent avec des tambourins en dansant.»La Paracha de Bechala'h relate le récit de la traversée de la mer rouge. Nous y lisons le cantique composé par les enfants d'Israël à cette occasion. La Torah raconte aussi la façon toute particulière avec laquelle les femmes ont participé à cette joie. Elles suivirent Miriam dans des danses accompagnées de tambourins.En Egypte, c'est Miriam qui annonça la venue du libérateur. Alors que les dirigeants de la génération ne voyaient pas d'issue à leur souffrance et à leur servitude, elle propagea l'espoir et la confiance en D-ieu parmi son peuple.D'ailleurs, lorsque sa mère fut forcée de mettre Moché dans les eaux du Nil, son père Amram, s'adressa à Miriam et lui demanda: «Qu'est-il advenu de ta prophétie ? Comment va-t-elle s'accomplir?» C'est pourquoi Miriam «se tint à distance, pour observer ce qui lui arriverait.» Au delà du souci pour son frère, Miriam se souciait de ce qu'il adviendrait de sa prophétie, et de son frère, le libérateur d'Israël.Ceci est comparable au sentiment que toutes les femmes juives, d'aujourd'hui, ont. Elles sont soucieuses du destin du peuple Juif, et elles attendent la Guéoula avec anxiété.Au moment de la traversée de la mer rouge, la célébration des femmes était bien à l'échelle de leur anxiété en Egypte. Elles exprimèrent, alors, leur joie d'une façon bien plus forte que les hommes.Le Midrach raconte que les femmes s'étaient préparées aux événements de la sortie d'Egypte et qu'elles étaient certaines qu'Hachem produirait pour Son peuple des miracles. Elles préparèrent, dès lors, des tambourins pour se réjouir, le moment venu.Dans un prochain avenir, nous célébrerons aussi la Guéoula. C'est pourquoi, bien que nous soyons encore en exil, l'assurance que la délivrance est proche doit déjà nous inspirer de la joie.Une telle expression de joie manifeste notre foi en la Guéoula et dans l'accomplissement des prophéties qui l'accompagnent. C'est précisément cette joie prématurée qui, en retour, hâtera la Guéoula.

Source:toramelchneor@hotmail.fr


Réalisé pour l'élévation de l'âme de Nicole Mazal Tob bat Eliahou ZELTZER הכ"מ


Aucun commentaire: