mardi 27 février 2007

TORAH SPOT TETSAVE [3]

Mardi 27 février 2007 - 9 Adar 5767

'Houmach
Les vêtements sacerdotaux sont décrits.Pendant leur service dans le Sanctuaire les cohanim, les prêtres, portent : 1) le ketonet , une tunique de mailles2) michnasayim , des caleçons de lin3) mitznefet ou migba'at -- un turban;4) avnet – une ceinture portée sur la tunique Le Cohen Gadol, le Grand Prêtre, porte de surcroît :-l'éfod, sorte de tablier fait d'or, d'azur, de pourpre et de lin tin tressé -le 'hochen, le pectoral suspendu aux épaulières de l'éphod et serti de pierres précieuses sur lesquelles sont gravés les noms des tribus d'Israël -le méïl, la longue robe toute d'azur sur laquelle est mis l'éphod et dont le bas porte des clochettes d'or et des grenades décoratives sur son pourtour.
-le tsits , une lame d'or pur qui cerne le front d'une oreille à l'autre, sur laquelle sont gravés les mots « consacré à l'Eternel ».La paracha contient ensuite les instructions détaillées données pour les sept jours de cérémonies d'investiture par lesquelles Aharon et ses quatre fils doivent être consacrés à la prêtrise ainsi que pour la construction de l'Autel, pourvu d'un toit recouvert d'or pur, où est brûlé le kétoret, l'encens.

Tehilim
Lire les Tehilim 105 (קה), et 49 à 54 (מט - נד)

Tanya
Chapitre 32:
L 'Admour Hazaken explique ici que le fait de considérer le corps comme secondaire par rapport à l'importance de l'âme constitue la meilleure façon de parvenir à un véritable amour de son prochain. En effet, chaque âme juive provient de la même source et ce n'est que par le corps que les Juifs sont séparés les uns des autres. C'est pourquoi celui qui fait du corps l'élément principal ne pourra jamais parvenir au véritable amour du prochain. Au contraire, celui qui ne considère que les âmes sait qu'elles ont toutes le même père et que toutes sont liées.

Rambam (Séfer Hamitsvot)
Mitsva positive N° 113 :Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint d'accomplir les prescriptions relatives à la vache rousse (Para Adouma) de sorte qu'elle soit prête pour les procédés nécessaires à la purification de celui qui est devenu impur au contact d'un mort.

Pensée juive
Marcher dans la rue en pensant aux mots de la Michna ou du Tanya, être assis dans un magasin avec un 'Houmach ou un Tehilim, a, de nos jours, plus de valeur qu'auparavant, lorsque la rue brillait de la lueur de la Torah.On ne peut marcher dans la rue avec un "coeur vide". On doit connaître des passages de la Torah par coeur et les avoir présents à l'esprit lorsque l'on s'y rend.
Un jour - une hala'ha
Lois de Pourim: : Matanot Laevyonim - les dons aux pauvres
- C'est une Mitsva pour chacun de donner au moins deux pièces à deux pauvres, c'est-à-dire une pièce à chaque pauvre.
-Celui qui se trouve à un endroit où il n'y a pas de pauvre, mettra de côté les pièces et les donnera lorsque l'opportunité se présentera.
- Il est préférable d'augmenter dans la Mitsva de "Matanot Laevyonim" (dons aux pauvres) plutôt que dans celle de "Michloa'h Manot" (mets aux amis) car il n'est pas de joie plus grande devant D.ieu que celle de réjouir les pauvres, les veuves et les orphelins.

- C'est une Mitsva pour chacun de donner au moins deux pièces à deux pauvres, c'est-à-dire une pièce à chaque pauvre.
-Celui qui se trouve à un endroit où il n'y a pas de pauvre, mettra de côté les pièces et les donnera lorsque l'opportunité se présentera.
- Il est préférable d'augmenter dans la Mitsva de "Matanot Laevyonim" (dons aux pauvres) plutôt que dans celle de "Michloa'h Manot" (mets aux amis) car il n'est pas de joie plus grande devant D.ieu que celle de réjouir les pauvres, les veuves et les orphelins.


Délivrance & Machia'h
« Véassita Ete Hakrachim – Et tu feras les poutres du Michkan – Tabernacle – en bois de Chittim. »

Comment nos ancêtres pouvaient-ils avoir une telle quantité de bois de Chittim en plein désert du Sinaï ? Comment s’étaient-ils procurés cet élément indispensable à la structure du Sanctuaire?Nos sages affirment que ce passage nous indique l’intensité de la foi en la Guéoula – délivrance – que nos ancêtres avaient lorsqu’ils étaient en Egypte.En effet, le Midrach raconte que Yaacov avait – par inspiration prophétique – vu qu’un jour sa descendance sortirait d’Egypte et qu’elle serait amenée à construire un Sanctuaire dans le désert. C’est pourquoi, lorsqu’il fut contraint à descendre en Egypte à cause de la famine, il apporta avec lui de la terre d’Israël des plants de Chittim qu’il fit planter à Goshen.Avant de quitter ce monde, Yaacov rassembla ses enfants et il leur dit : « Vous traverserez ici une période de dures épreuves. Ne perdez pas espoir en la délivrance, car ces arbres que j’ai plantés témoignent de la promesse Divine. Un Jour, Hachem vous délivrera et vous demandera de lui construire un Sanctuaire. Vous utiliserez, alors, le bois de ces arbres que vous transporterez avec vous au moment où vous quitterez ce pays. »Ainsi, tout au long de l’exil, les enfants d’Israël ont entretenu ces arbres qui étaient devenus le symbole de leur espérance. D’ailleurs, D.ieu récompensera, aux Temps Messianiques, les Chittim pour avoir joué ce rôle si important, ainsi qu’il est dit: « En ce jour, les montagnes ruisselleront du jus de la vigne, les collines feront couler du lait, les ruisseaux seront plein d’eau. Une source jaillira de la Maison de l’Eternel et arrosera la vallée des Chittim. »


Réalisé partoramelchneor@hotmail.fr
pour l'élévation de l'âme de Nicole Mazal Tob bat Eliahou ZELTZER הכ"מ

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